Le deuil

Que l’on soit préparé à la mort de son enfant ou non, le décès de son enfant est toujours un traumatisme et une souffrance insoutenable.

Le chagrin, le désarroi, la solitude peuvent ainsi apparaître un ou deux mois après le décès. Si l’aide que vous avez apportée à votre enfant a été éprouvante, s’ajoute parfois un soulagement dont vous pouvez culpabiliser. Il est également possible que vous vous demandiez si vous avez bien fait tout ce qu’il faut…Parlez de vos tourments à ceux qui peuvent vous écouter et vous soutenir.

Le deuil est un processus de réparation intime, très personnel. Ne laissez personne vous dicter votre attitude. Si votre détresse se prolonge et qu’elle occasionne des troubles du sommeil et de l’appétit, des douleurs morales et physiques persistantes, consultez votre médecin.

Pour en savoir plus, n’hésitez pas à consulter le site Apprivoiser l’absence.